L’association "Concert d’été"
Présidente : Marie Susplugas Andréa
secrétaire : Françoise Darche
Trésorier : Alexandre Gil
secrétaire : Françoise Darche
Trésorier : Alexandre Gil
Ce festival a pour ambition de faire découvrir la diversité des visages de la Méditerranée du moyen-âge à nos jours, à travers la musique, la Poésie et autres arts.
Le nom que porte l'association, "Concert d'été", évoque déjà JS Pons, puisqu'il s'agit du titre de l'un de ses livres de prose française, publié en 1950,"où le poète part à la recherche de ses souvenirs".
Marie Susplugas Andréa
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Fille du peintre André Susplugas, (ami de Desnoyer, Descossy, Frère, Bonel, et bien d'autres), petite fille du poète Joseph Sébastien Pons qui côtoyait Déodat de Séverac, Pau Casals, Maillol, Violet … Marie Susplugas Andréa, présidente de l’association est née, il va sans dire , dans une atmosphère où l'art était omniprésent. C'est tout naturellement qu'elle essaie, en juin 2000, de faire partager son amour de l'art en créant à Palau del Vidre, avec son amie Nancy Choukroun, vice-présidente et ses nombreux amis musicien , un festival de musique et de Poésie nommé :
"Concert d'été", Visages de Méditerranée. A droite le visuel des affiches disponibles depuis la création du Festival l'année 1999.
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En 1908, Jean Amade choisit deux poèmes de J.S Pons pour son Anthologie catalane («Les poètes roussillonnais»), Dona d’aigua et Roses de tardor, inédit, datant de novembre 1907. Ces poésies de jeunesse dénotent déjà une maîtrise et une maturité incontestables, et Jean Amade ne craint pas d’écrire dans l’introduction de son Anthologie catalane que Josep Sebastià Pons est «l’espoir de la poésie roussillonnaise».
En 1950, J.S Pons publie à Paris, chez Flammarion, Concert d’été, un livre de prose écrit en français.
J.S Pons est né à Ille-sur-Têt le 5 novembre 1886. Professeur d’espagnol dans l’enseignement secondaire, puis à la faculté des Lettres de Toulouse (1935-1953), il est l’auteur de nombreux recueils poétiques (Roses i Xiprers, 1911 ; El bon Pedrís, 1919 ; L’Estel de l’escamot, 1921 ; Canta perdiu, 1925 ; l’Aire i la fulla, 1930 ; Cantilena, 1937 ; Conversa, 1950 ; Cambra d’hivern, 1966 ; Obra poètica, 1976), d’œuvres dramatiques, de contes et nouvelles (Concert d’été, 1950, El llibre de les sept sivelles, 1956), d’un récit autobiographique (L’oiseau tranquille, 1986) et d’autres écrits en prose.
Nous voulons rendre hommage au plus grand poète du Roussillon, dont l’œuvre toujours vivante, constitue une référence et un exemple constants.
En 1950, J.S Pons publie à Paris, chez Flammarion, Concert d’été, un livre de prose écrit en français.
J.S Pons est né à Ille-sur-Têt le 5 novembre 1886. Professeur d’espagnol dans l’enseignement secondaire, puis à la faculté des Lettres de Toulouse (1935-1953), il est l’auteur de nombreux recueils poétiques (Roses i Xiprers, 1911 ; El bon Pedrís, 1919 ; L’Estel de l’escamot, 1921 ; Canta perdiu, 1925 ; l’Aire i la fulla, 1930 ; Cantilena, 1937 ; Conversa, 1950 ; Cambra d’hivern, 1966 ; Obra poètica, 1976), d’œuvres dramatiques, de contes et nouvelles (Concert d’été, 1950, El llibre de les sept sivelles, 1956), d’un récit autobiographique (L’oiseau tranquille, 1986) et d’autres écrits en prose.
Nous voulons rendre hommage au plus grand poète du Roussillon, dont l’œuvre toujours vivante, constitue une référence et un exemple constants.
Pedro Soler, président d’honneur
Pedro Soler, avec sa guitare magique, une Santos Hernandez, a dans ses doigts un sacré héritage : Celui des maîtres de l’âge d’or du flamenco qu’il eut la chance de fréquenter. Sans jamais prendre de cours, il a regardé, écouté, et a suivi leurs conseils. Ceux de Pepe de Badajoz notamment. Il a accompagné dans la danse la chunga, la Joselito, et le chant de Pepe de la Matrona et d’Enrique Morente.
Aujourd’hui, pour les aficionados, il est un virtuose lumineux. Remarqué pour la pureté de son style et son étonnante sonorité, il mène une carrière de soliste et fait entendre sa guitare dans la plupart des pays d’Europe, d’Amérique, d’Afrique...
“Parmi toutes les guitares qui chantent et font danser dans le monde, il en est une particulièrement pure, c’est celle de Pedro Soler.” Jean-Louis Barrault.
Pedro Soler, avec sa guitare magique, une Santos Hernandez, a dans ses doigts un sacré héritage : Celui des maîtres de l’âge d’or du flamenco qu’il eut la chance de fréquenter. Sans jamais prendre de cours, il a regardé, écouté, et a suivi leurs conseils. Ceux de Pepe de Badajoz notamment. Il a accompagné dans la danse la chunga, la Joselito, et le chant de Pepe de la Matrona et d’Enrique Morente.
Aujourd’hui, pour les aficionados, il est un virtuose lumineux. Remarqué pour la pureté de son style et son étonnante sonorité, il mène une carrière de soliste et fait entendre sa guitare dans la plupart des pays d’Europe, d’Amérique, d’Afrique...
“Parmi toutes les guitares qui chantent et font danser dans le monde, il en est une particulièrement pure, c’est celle de Pedro Soler.” Jean-Louis Barrault.